La Sexualité

Le problème de la sexualité, des passions et des appétits sexuels est parfois très complexe. Il n’est pas exagéré de dire que la sexualité est souvent une “peste psychique”. A quoi cela tient-il? Pourquoi y a t-il tant de fausses notions dans ce domaine? On peut remarquer que le problème sexuel ne se pose jamais dans l’amour véritable. Il ne se pose pas non plus chez une personne équilibré et harmonieuse. Serait-ce donc que l’amour véritable se perd? Et que l’harmonie disparaît? On serait tenté de le croire, en considérant le nombre de névroses, de refoulements et de peurs qui règnent sur le monde actuel.

Sexualité=personnalité

Les troubles de la sexualité sont toujours provoqués par des troubles de la personnalité. Une impuissance ou une déviation sexuelle sont toujours les symptômes d’une déviation intérieure générale.

Que recherchent beaucoup de personnes dans la sexualité (ou moins ce qu’ils appellent ainsi)? Des millions d’hommes et de femmes sont enfermés dans d’éttouffantes habitudes intérieures. Leurs possibilités de créer la beauté dorment. Que tentent alors ces personnes? Se fuir elles-mêmes, avant tout. Elles vont essayer de trouver un bonheur fugace, des “sensations fortes”, etc. Et elles s’adressent tout naturellement à la sexualité…. Il n’y a évidemment aucun amour dans tout cela, mais le désir de s’oublier soi-même. Ils ont des rapports sexuels comme d’autres boivent de l’acool ou se droguent.

Or, la sexualité est le domaine qui exige, plus que tout autre, une libération de la peur et un dégagement de soi. Qui exige donc l’extirpation de tous les “chancres” psychologiques.

Pour beaucoup, l’amour est une émotion profonde ou la satisfaction d’un désir. C’est comme si quelqu’un se croyait “religieux” parce qu’une musique d’orgue lui donne une forte émotion… Nous sommes loin de la véritable religion, comme du véritable amour. L’amour est un acte de connaissance et d’intelligence. Il permet saisir l’essence même d’une autre personne. Cet amour humain s’exprime dans le corps par la vie sexuelle, aboutissant à une fusion parfaite, au renouveau  des forces et à la béatitude…

Nous allons examiner quelques généralités sur ce problème, ainsi que les déviations les plus courantes.

La sexualité de l’homme

Qu’est- ce que la puissance sexuelle?

C’est la possibilté de mener à ses fins l’acte sexuel, en tenant compte de sa partenaire, évidemment, la puissance sexuelle peut se diviser en plusieurs facteurs:

a) le désir physique proprement dit.

b) la possibilté d’érection, qui doit se produire au moment voulu.

c) l’éjaculation l’orgasme, suivis d’une détente parfaite et d’un sentiment de joie profonde.

C’est ici que l’homme se heurte à une loi impitoyable! Il est puissant… ou impuissant. Pas de demi-mesures. Il ne sera puissant que s’il est capable de réaliser sa propre sexualité ainsi que celle de sa partenaire. Beaucoup d’hommes sont capables d’érection et de pénétration, mais incapable de conserver cette érection jusqu’à la fin de l’acte. Ou bien l’érection a lieu, mais disparaît dès que commence la pénétration. Ce sont donc des cas d’ “impuissance partielle”; donc d’impuissance tout court.

Ces impuissances font souvent le désespoir des hommes qui sont atteints; elles sont pratiquement toujours à base psychologique.

Qu’est- ce que l’impression sexuelle masculine?

Il y a donc impuissance dès qu’un des rouages de l’action sexuelle fait défaut, rendant ainsi impossible une sexualité normale et complète. Les troubles se portent souvent sur un des points suivants:

Absence de désir – Désir refoulé – Pas d’érection – Eréction insuffisante – Erection se terminant pendant ou avant l’acte – Pas d’éjaculation- Pas de plaisir- Pas de détente.

Il y a impuissance quand l’individu doit faire appel à quelque chose de non-sexuel pour obtenir une érection. Ces cas sont d’ailleurs aussi nombreux que les névroses…

Beaucoup d’hommes également restent impuissant, sauf s’ils imaginent, pendant l’acte, des situations qui n’ont rien à voir avec l’action sexuelle proprement dite.

Voici quelques cas:

X.  n’arrive à l’ érection qu’en s’imaginant qu’on le torture. (cas de masochisme)

A. reste impuissant tant qu’il ne pense pas fortement à des gants de femme (cas de fétichisme)

R. est obligé d’imaginer une très jolie femme assise dans une jolie voiture luxueuse. ( il y a ici un sentiement d’infériorité de base).

Ces exemples, que l’on pourrait multiplier à l’infini, montrent évidemment des névroses. Je parlerai de cela plus loin.

L’opinion sur les hommes

Tout homme a des tendances “sadiques”! il est certain que beaucoup d’hommes aiment rencontrer une certaine résistance chez leur partenaire.

Ce comportement montre probablement l’esprit de “conquête”, ananage de la gent masculine! cela est normal; à condition toutefois qu’un homme n’ait pas besoin d’être agressif pour pouvoir être sexuel. S’il n’obtient l’érection que grâce à l’agressivité ou la brutalité, (en pensée ou en acte), cet homme est un impuissant et possède, en effet, des tendances sadiques.

Il semble donc y avoir un jeu subtil entre le normal et l’anormal. E n fait, il n’en est rien. Un homme normal atteindra la puissance sexuelle aussi bien avec agressivité que sans. Son comportement sera, ici, réglé sur celui de sa partenaire. On dit que les femmes aiment la brutalité? Je crois que c’est faux (à condition qu’elles soient normales, évidemment!) les femmes aiment la sécurité que leur donne un homme mentale ment et physiquement fort. Mais elles savent très bien établir la différence entre l’agressivité normale ou anormale.

La véritable sexualité provient de la simplicité de la personnalité humaine. Une érection ne doit pas être provoquée par telle imagination, tel complexe, etc., mais par la totalité d’un individu. la vraie sexualité masculine est l’expression d’une virilité réelle, entière, unifiée, aussi bien physique que mentale. Et ce n’est pas parce que grouillent les fausses virilités qu’il faut oublier cette grande loi! Elle replace la sexualité sur le pavois auquel elle a droit… au lieu de croupir dans les basses-fosses où on la place trop volontiers.

Quelle est la cause des troubles sexuels masculins?

La plupart des névroses produisent des troubles sexuels, puisque la sexualité est l’expression de la personnalité. Or, nous avons vu combien les névroses règnent à l’état épidémique! (voir prochainement article “névroses et psychoses”). La sexualité est toujours un signe infaillible du comportement intérieur. C’est peut être le seule domaine de la vie où il soit impossible de tricher. S’il y a névrose, on doit en chercher la cause; c’est l’évidence.

Les dificiences sexuelles sont dues à des inhibitions émotives, provoquées par des facteurs souvent subconscients. Ces freins intérieurs s’opposent à la volonté de réaliser l’union avec l’autre sexe. Or, une personnalité est “normale” quand son conscient et son subconscient s’accordent parfaitement, dans des rapports équilibrés. En un mot, s’il n’existe entre eux aucun conflit. Dans ce cas de la sexualité, le conscient”désire”, mais le subconscient s’y oppose. Et, neuf fois sur dix, c’est le subconscient qui gagne (du fait même qu’il est inconnu et invisible).

La peur, les sentiments d’infériorité, les refoulements, les complexes, sont les causes fréquentes de troubles sexuels. Ces derniers se manifestent dès que la “virilité mentale” est brisée ou diminuée. Ou si le sujet demeure ” accroché” à des situations antérieures liées (pour lui) à la sexualité. C’est le cas de beaucoup d’homosexuels.

Ces hommes sont alors dans un état de solitude psychique. Ils sont incapables de sortir d’eux-mêmes et de se laisser aller… Or, on castate que la solitude psychique est le fait des adolescents. Et que la plupart des hommes ayant des troubles sexuels sont, quelque part en eux-mêmes, demeurés de grands adolescents…

Quel est le rôle de la mère?

Etant donné que l’on trouve si souvent l’influence du milieu familial dans les troubles sexuels, je propose de l’examiner une fois de plus:

Rappelons-nous la Genèse:”l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme. Nous avons vu déjà combien les rapports entre mère et enfant son complexes, surtout si l’enfant est un garçon. Lre rôle de mère est ingrat et terriblement compliqué.Une mère doit tout donner à son fils… pour qu’il l’a quitte afin de tout donner à uune autre femme! On comprend que beaucoup de mères échouent dans ce rôle, qui exige des qualités de lucidité et de santé psychiques énormes!

Une mère doit soigner sans fils sans le “couver”; elle doit le protéger sans s’accrocher à lui; elle doit empêcher que son fils ne s’accroche à elle; elle doit l’aider à se détacher d’elle au moment voulu. On voit qu’une mère “doit” accomplir beaucoup de choses; car le détachement doit être aussi bien physique que mental. Or, l’indépendance mentale d’un homme envers sa mère est un facteur primordial de réussitte sexuelle. Nous avons étudié comment la “dictature” maternel pouvait engendrer des sentiments d’infériorité et de névroses (souvent inconscientes). Cette dictature est parfois agressive, sévère et rude. Mais, dans cette éventualité, l’enfant sait en général à quoi s’en tenir. Cependant, l’autoritarisme maternel fait beaucoup plus de ravages s’il se déguise sous des masques: douceur exagérée, bonté absolue, dévouement maniaque, etc.( voir article prochain “les personnes épuisantes“).

Le public serait stupéfait en connaissant le nombre d’hommes restant mentalement accrochés “aux jupes” de leur mère. Ou continuant à avoir intérieurement peur de leur mère, même à distance! Comment ne se sentiraient-ils pas diminués, dévirilisés, impuisants? De plus, l’admiration éperdue qu’ont certains garçons envers leur mère peut aboutir au même résultat.

Que disent de nombreux impuissants sexuels?

– Ma mère est la seule femme que j’aie jamais aimée et admirée.

– Chez moi, c’est automatique: je compatre toutes les femmes à ma mère; aucune ne supporte la comparaison! (on peut être certain que ce garçon épousera “sa mère”, transposée sur une femme qui lui renssemblera d’une façon quelconque).

– j’ai été si déchiré par l’autorité de ma mère que, lorsque je parle à ma femme, j’ai l’impression d’avoir ma mère devant moi.

– ma mère me disait souvent: ” Après tout ce que j’ai fait, j’espère que tu resteras avec moi le plus longtemps possible; la place d’un garçon est auprès de sa mère…” etc.

Il ne faut pas réflichir beaucoup pour comprendre combien ces façons de faire tuent la virilité morale d’un garçon; donc sa virilité physique.

La maternité est une sainte chose, à condition qu’elle préserve l’intégrité virile du garçon.

Et c’est parce que le rôle maternel est si beau qu’il doit être autre chose qu’un roman sentimental, ou qu’une compensation. Combien d’hommes se sentent coupables de quitter leur mère pour se marier, même si cette mère est bien portante et nullement dans le besoin? Le cas des mères autoritaristes (quelle que soit donc la forme de cet autoritarisme) a toujours des résultats sexuels désastreux. Voir le complexe d’oedipe, il n’est pas une élucubration théorique, mais un fait justifié par des millions de cas. Rôle splendide d’une mère, qui peut devenir si néfaste…

Quel est le rôle du père?

Le père personnifie le soleil, la puissance, l’exemple et l’autorité. Encore un cercle magique dont l’enfant doit sortir un jour! Le père doit reconnaître les capacités de son enfant, lui donner confiance en lui.Si le père est dictatorial, ou dominateur, ou faible, l’enfant grandit dans un sentiment d’infériorité et d’échec. Il demeure infantile, apeuré devant les hommes et les femmes. Il se sent toléré, inutile, petit… Comment pourrait-il avoir une virilité sexuelle, s’il n’a pas de virilité mentale?

La sexualité de la Femme

La sexualité féminine est beaucoup plus généralisée et plus latente que celle de l’homme. Elle s’éveille lentement, du moins en général. L’histoire de la Belle au Bois Dormant et du Prince charmant est toujours vraie, quoi qu’en en pense. Or, que constate-t-on? Que des millions de femmes mariées, ayant eu plusieurs enfants, n’ont jamais obtenu la moindre satisfaction sexuelle profonde! Nous ne devons pas oublier que la sexualité (dans son sens le plus noble représente, pour la femme, une très grande partie d’elle-même. On se demande fréquemment: la femme est-elle plus ou moins sexuelle que l’homme? La réponse est qu’elle ne l’est ni plus ni moins. Elle est différente, tout simplement.

Chez une femme, la sexualité est toujours liée fortement à l’affectivité. Chez nombre d’hommes, la sexualité se trouve en “surface”; l’homme est surtout génital. Il n’en est pas de même chez la femme! Une grande partie de la vie féminine dépend d’une sexualité comblée. Autre notable différence: si la sexualité générale a beaucoup d’importance pour une femme, l’acte sexuel proprement dit en a beaucoup moins. Elle apprécie les préparatifs et les caresses bien plus que l’acte lui-même. C’est ce qui fait le malheur de nombreux ménages… où l’homme n’a rien compris du tout ( à moins qu’il n’ait pas la technique nécessaire). Une femme normale aime les émotions savamment dosées, les impressions délicieuses d’être entourée, cajolée, portée, comprise…Ne le disent-elles pas elles-mêmes? Mais elles détestent les attaques brusquées et l’acte charnel sans préparatif (sauf dans des cas anarmaux). Que retire une femme des actes sexuels brutaux et rapides? Rien, sinon du dégoût et une indifférence qui risque de la conduire à une frigidité générale.

Il faut reconnaître que beaucoup d’hommes sont, dans ce domaine, d’une invraisemblable maladresse… ou d’un égoïsme insensé. Et si certaines femmes apprécient l’agressivité celle-ci doit être également soigneusement dosée! Les femmes mettent toujours en jeu le radar infaillible qu’est leur “intuition”. N’ont-elles pas l’intuition de la sexualité avant d’en avoir l’expérience pratique? C’est pourquoi elles ont besoin de la perfection dans le domaine sexuel, et non d’un à-peu-près. Pour elles, c’est ” tout ou rien”. Aux hommes de le savoir, et de l’appliquer….

Les femmes frigides

La frigidité est forme absolument courante d’impuissance sexuelle féminine. Elle consiste en un ralentissement (ou un arrêt) de l’appétit sexuel. La frigidité peut provenir de troubles objectifs: surmenage, épuisement, diabète, neurasthénie, intoxications, etc. Mais, le plus souvent, la cause d’une frigidité est psychologique. Il m’est évidemment impossible d’en donner une cause générale; toute frigidité doit être traitée selon la personne individuelle. Nous devons envisager maintenant les cas “normaux” et “anormaux”  de la frigidité.

1- La frigidité normale. Neuf fois sur dix, la faute en incombe au mari… Combien de femmes redoutent avec anxiété le moment d’aller au lit! Et que de drames secrets parfois! Ces femmes frigides prétendent “détester l’acte sexuel physique”. elles devraient plutôt dire qu’elles détestent la façon dont l’homme envisage et accomplit cet acte. Ce qui n’est nullement pareil. Cette frigidité et cette haine de l’acte génital sont des réactions courantes qui hantent certaine femmes, cependant bien constituées. Il suffirait cependant de très peu  (de la part du mari, bien souvent!) pour que cesse cette situation. Il est donc bien entendu que je considère ici une femme et un homme normaux. l’hoome doit savoir sans cesse combien la femme est plus généralement et profondément sexuelle que lui. Il doit se rappeler que la femme allie l’affectivité, l’émotion et la sensualité.

Or, que constate-t-on souvent? Pour nombre d’hommes, ou de  femmes actuellement, l’acte sexuel se manifestent par un comportement presque mécanique, aboutissant presque immédiatement à la satisfaction génitale.

Contrairement a certaines femmes, a la recherche de la caresse de l’âme. Pour une femme normale, l’amour physique est l’aboutissement d’une communion sentimentale. C’est un fait dont il faut toujours tenir compte. Il faut à l’homme une certaine dose d’intuition. Or, cette intuition est bien souvent anéantie par sa raison et sa logique. Un homme me disait: ” l’intuition? Mais c’est féminin, ça! je n’ai rien d’une femme, moi!” C’est grotesque. Etre un homme “fort” (ou le croire) est parfois pratique, tant que cela dure. Encore que les hommes de cette catégorie soient fréquemment les seuls à être convaincus de leur force; la Femme ne s’y trompant jamais. Mais être un homme totalement humain est mieux encore, ne croyez-vous pas? Cette intuition masculine est indisponsable; elle pourrait sauver des millions de ménages qui végètent.

Beaucoup d’hommes également croient que si leur partenaire “s’abandonne tendrement”, c’est qu’elles éprouvent un désir sexuel. Quelle erreur! Une femme parmi tant d’autres, me disait: ” Il ne comprend rien du tout. Il est très intelligent, mais me donne l’impression d’être une grosse brute dans ce domaine. Je n’ose pas m’abandonner aux confidences; je crains de pleurer un peu en me cachant dans ses bras. cela finit toujours de la même façon. au point que j’en suis arrivée à le détester, et à ne plus me laisser aller avec lui.

La Femme a besoin de sécurité et de tendresse; elle demande une réponse affective et pleine de compréhension; elle doit sentir une solidité mentale chez son partenaire.

L’harmonie est une belle chose. Et la sexualité féminine la demande dans son intégrité. Si un compositeur de musique passe tant d’heures à écrire une symphonie, ne croyez-vous pas que l’harmonie sexuelle mérite qu’on fasse de même?

Dans la frigidité normale, la responsabilité masculine peut être d’au autre ordre. Nous savons qu’une femme doit sentir, non pas la domination ou la faiblesse de son partenaire, mais sa solidité physique et mentale. C’est pourquoi beaucoup de femmes restent (ou deviennent) frigides parce que l’homme est névrosé, agressif, féminiin, hyper nerveux, etc. La frigidité est donc, ici, accidentelle; elle montre l’impossibilité de s’abandonner à une force masculine qui n’existe pas.

La frigidité anormale

Les autres cas de frigidité montrent toujours des troubles de la personnalité. Il arrive fréquemment (comme chez l’homme) que la frigidité soit provoquée par des sentiments d’infériorité, empêchant la détente indispensable. Si le sentiment d’infériorité est le lot de centaines de milliers de femmes, doit-on s’étonner que le cas de frigidité soient tout aussi nombreux?

Une grande partie de femmes frigides sont anormalement combatives; elles se révoltent contre leur rôle naturel. Que disent certaines d’entre elles?

– Je n’accepterai jamais d’être le jouet d’un homme.

– Ma mère m’a tellement dit que les hommes sont vils, que je ne parviens pas à me débarraser de cette idée…

– Je n’ai pas suffisament confiance en les hommes pour me laisser aller avec mon mari.

– Les hommes? ils ne songent qu’à leur plaisir égoïste. 

A suivre prochainement


Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *